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Sœur défunte: Sr. Mary Augusta Harris (Alice Harris)
16/11/2024
Sœur défunte: Sr. Malia Vitalina Evelina So’oto
16/11/2024
Sœur défunte: Sister Malia Emanuela Bethem (Anna Bethem)
04/11/2024
Intentions SMSM, les besoins de l’Eglise, la congrégation et le monde
04/11/2024
Intentions de Prières du Saint Père
04/11/2024
Intentions SMSM, les besoins de l’Eglise, la congrégation et le monde
04/11/2024
Intentions de Prières du Saint Père
La « Société de Marie » est née le 23 juillet 1816, aux pieds de Notre-Dame de Fourvière, à Lyon.
Les fondateurs : un groupe de 12 séminaristes, dont J.-C. Colin et M. Champagnat. Ils voient grand : cette « Société de Marie » dans laquelle ils s’engagent ce jour-là doit réunir des prêtres, des frères, des sœurs et un tiers-ordre de laïcs.
Une « famille » à quatre branches, donc.
Ce qui les soude est leur idéal spirituel : se mettre comme Marie au service de l’Eglise, par un travail discret, caché, mais dynamique et généreux.
Les Pères Maristes
Fonder une Société portant le nom de Marie « pour répondre aux grands besoins des peuples ». Avec Jean-Claude Colin, le projet prend corps : dans une France déchristianisée, les Pères Maristes animent des missions dans les campagnes, créent des écoles. En 1836, ils acceptent de partir pour l’Océanie à la demande du Pape. Le Père Favre, premier successeur du Père Colin, soutiendra les pionnières.
Ils sont environ 1 100 aujourd’hui répartis sur tous les continents.
Les Frères Maristes
Marcellin Champagnat faisant partie du groupe des 12 de Fourvière. Tout jeune prêtre (il a été ordonné la veille, 22 juillet 1816), il ne tarde pas à réaliser le projet qui lui tient à cœur : former des instituteurs et des catéchistes pour les écoles de campagne. Dès le 2 janvier 1817, les Frères Maristes existent.
Religieux sans être prêtres, les 4 000 Frères maristes d’aujourd’hui travaillent en 76 pays, dans les écoles et dans bien d’autres projets éducatifs, de développement et de catéchèse.
Les Sœurs Maristes
Commencée à Cerdon en 1817, la Congrégation se développe ensuite à Belley, dans l’Ain. Elle reconnaît comme fondateur Jean-Claude Colin et comme fondatrice Jeanne-Marie Chavoin, ainsi décrite dans un livret récent : « Une jeune femme croit qu’on peut faire d’un village une communauté humaine plus heureuse et qu’il n’est pas si difficile de créer entre les habitants des relations de service, d’amitié, et même de prière. Elle pense pour cela à la vie toute simple de Marie à Nazareth. »
Comme Jean-Claude Colin, Jeanne-Marie fait aussi du mystère de Marie, présente à la naissance de l’Eglise, l’inspiration quotidienne de sa vie et de son action.
A sa suite, les 400 Sœurs Maristes, présentes aujourd’hui en Europe, en Océanie, en Amérique et en Afrique, vivent leur mission ecclésiale, particulièrement auprès des jeunes, des pauvres et des malades.
Les Sœurs Missionnaires de la Société de Marie
Nous appartenons à la « Famille Mariste ». On nous trouve sur ce site.
Les Fraternités
Des l’origine, des laïcs ont voulu vivre de l’esprit mariste, ils ont formé des groupes autour des religieux (Pères, Frères, Sœurs). Ces groupes ont pris - et ont gardé - des formes variées : en tel pays, il s’agit d’un tiers-ordre, en tel autre de Fraternités… Mais, quel que soit leur nom, ces équipes rassemblent des hommes et des femmes, mariés ou célibataires, qui veulent s’inspirer de l’intuition mariste pour vivre leurs engagements de laïcs dans l’Eglise et le monde.
En équipe, ils partagent leur foi, leur réflexion, leur prière, leur amitié
(De : Qui enverrai-je? Sœurs Missionnaires de la Société de Marie)